Je suis actuellement entrain de travailler sur les projets suivants…

Le Journal de Maya, projet en cours. Le Chat écrit son quotidien au sein des humains
Mon autobiographie en version française: Le titre sera dévoilé ultérieurement. Terminé. En quête d’éditeur

Le manuscrit compte environ 230 pages A4. Un certain nombre de photos viendraient enrichir le texte pour rendre l’histoire encore plus vivante, donnant ainsi au lecteur l’avantage de s’y situer.

Les Comores, ce Grand Inconnu de l’Océan Indien, « îles oubliées » d’après une inscription très frustrante que j’ai pu lire, l’an passé, sur une grande affiche à l’aéroport de Dar-es-Salaam en Tanzanie, commencent petit à petit à s’octroyer une place dans la culture des générations (jeunes et anciennes). Ce, malheureusement par l’intermédiaire de nouvelles non réjouissantes comme, récemment, la guerre sur la petite île d’Anjouan, pour ne citer qu’elle…

Mon œuvre n’a pas la prétention de traiter ce triste événement. À travers mon vécu, je présente aux lecteurs l’île Anjouan et l’Anjouanaise que je suis, mais aussi Les Comores de mon enfance, de mon adolescence et de mes rêves… Les lecteurs découvriront non seulement mes secrets, mais aussi le pays où j’ai vu le jour ; un peu de son histoire et de sa géographie, beaucoup de ses coutumes qui ne tarissent pas d’intérêt.

Tristesse et colère imprègnent mon histoire… mais aussi un peu de joie, le tout habillé d’un soupçon de poésie et d’humour, et une bonne dose de sincérité…

Résumé très succinct de l’histoire

Catidja est la fille du méchant Badjini, littéralement, « Le Diable » ou encore, « L’Ogre ». Dans le village d’Ouani tous craignent Badjini, sa fille en particulier, au point de « supplier La mort de la prendre… » La maison de Badjini est une forteresse où Catidja et sa jeune sœur Anna sont séquestrées jours et nuits et n’en sortent que le vendredi, jour béni selon Catidja, pour aller rendre visite à leurs très « détestées » (par Badjini) grand-mère et arrière-grand-mère maternelles…

A Guérézani « tout le monde est malvenu. » Pourtant, un homme y a accès, avec la bénédiction du maître des lieux : l’ami de Badjini… Le renard dans la bassecour…

La fillette se méfiera, plus tard, du gourou engagé par sa grand-mère pour l’exorciser. Pourquoi exorciser ? Toujours est-il qu’à travers les psalmodies « non coraniques » du gourou (Catidja connaissant parfaitement le contenu du livre sacré d’Allah), et ses agissements on ne peut impudiques, la fillette perçoit du déjà-vécu et devinera très vite le pervers qui sévit en ce soi-disant guérisseur, prêt à « sauter sur elle et l’enfourcher »…

L’école « de Charlemagne », que Badjini préférera à l’autre école (« merci Badjini »), est une échappatoire au quotidien de Catidja fait de cris et d’humiliations et, surtout, à la vie qui lui est destinée ; épouse et mère de famille à peine la puberté contractée, ou divorcée sitôt sortie de la chambre nuptiale… Le destin de l’Anjouanaise.

Catidja a un rêve. Partir, pour échapper aux cris de son tyran de père, à l’indifférence de ses voisins, à l’ignominie de ses compatriotes… Partir en France, un pays qu’elle considère un peu sien. La mère patrie, La Métropole. Badjini a aussi un rêve. Faire de sa fille le garçon que Dieu ne lui a pas donné, « son investissement, son assurance vie, sa retraite ». Catidja poursuit-elle des chimères ? En tout cas, ses rêves se réalisent. Elle sera la première jeune fille de son village à accéder au prestigieux Baccalauréat, son « passeport pour La Métropole ». La première à fréquenter l’Université. La première « à prendre » le divorce et non à le recevoir, comme le veulent les coutumes de son pays. Elle part dès la fin de ses noces (imposées), défiant les lois de ses pères…

Mais qu’est-ce qui l’attend là-bas, de l’autre côté de l’Océan ?

Outil pédagogique, une œuvre qui trouve sa place dans tous les foyers et toutes les bibliothèques des jeunes de 13 à 93 ans.

 

Le deuxième livre de l’autobiographie: le titre sera dévoilé ultérieurement. En quête d’éditeur

En cours d’écriture Catidja a réalisé son rêve. Elle est en France. Qu’advient-il d’elle ?

Sa vie, faite de défis, de déceptions, de découragements, de « fuites »… vaut-elle la peine d’être poursuivie en ce lieu ? Trouvera-t-elle ce « chez elle » qu’elle recherche tant ? Trouvera-t-elle enfin son havre de paix ? Quel est-il ? Qu’en est-il de son pays d’origine ? L’a-t-elle réellement banni de sa vie ?…

 

Roman: titre gardé secret. Version française terminée. En quête d’éditeur

Aux bains thermaux d’Unterreichsteiner les baigneurs fantasment. Chaque fantasme est unique. Gaspar rêve de massages spéciaux avec la jeune fille des tropiques, Caramel. Le rachitique Melchior provoque le musculeux kinésithérapeute en duel, en rêve. Rosa Malloti s’autosatisfait avec les jets du bassin, la réceptionniste Émeline et le professeur de spinning Pincette espèrent chacune, secrètement, que le beau kiné se décide pour l’une ou pour l’autre…

Une comédie avec une fin heureuse.

 

Titre gardé secret. En cours

À la Grande Comore, le grand mariage est une finalité de la vie de tout homme. C’est l’unique moyen par lequel le Grand-comorien « achète » sa notoriété, sa place dans la société Karida et dia se sont connus, se sont aimés, se sont mariés, ont eus trois enfants. Lui est Grand-Comorien, elle est anjouanaise

Dia est une grande personnalité politique. Malgré cela, il n’a pas la parole en publique et ne l’aura aussi longtemps qu’il n’aura célébré son « Anda ». Qu’à cela ne tienne. L’Anda aura lieu. Seulement il y a un os ; la mère de Dia, une grande comorienne très traditionnaliste, s’oppose à ce que son fils célèbre cette prestigieuse fête son épouse. Elle exige qu’il le fasse avc une femme autre que la sienne actuelle, une de son choix.

Le couple ne l’entend pas de cette oreille- là. Les deux époux décident d’organiser leur second mariage avec ou sans la présence de la matrone.

L’Amour et le Anda se mettent en compétition.

Ne peuvent-ils donc pas coexister ?…

 

Titre gardé secret. Commencé

Situation des Comoriens et leurs relations avec Mayotte, la 4ème île de l’Archipels des Comores.

 

Le Journal de Maya. Terminé. En quête d’éditeur

Le chat Maya invite son ami (e) à prendre part à une journée-type du chat libre devenu dépendant et lui raconte son quotidien dans l’appartement de ses parents adoptifs, les humains. Il y a beaucoup de hauts qu’il loue, et des bas de moindre qualité qu’il condamne, légèrement toutefois, ou tolère tout simplement.

Une autobiographie féline rédigée en langue humaine mais dans un langage félin.

Ainsi, un appartement est un grand placard avec de nombreux autres placards plus petits, pour le jeu, les bêtises, la toilette, le repas, le repos et l’isolation.

Ses parents adoptifs sont des humains, un humain et une humaine.

Les termes de papa et maman, on les réserve aux humains. Pour Maya, il y a Humaine, et Humain pour veiller à ses besoins quotidiens.

L’auto est un placard qui bouge et donne le tournis.

La porte d’entrée est la porte interdite.

Pour rédiger son texte, le chat va emprunter le vocabulaire de sa famille d’accueil mais sans pour autant abandonner le sien propre. Ceci dans un souci d’intégration, et afin de se rapprocher de son ami et lecteur tout en préservant son identité, sa personnalité, son statut de chat qui s’en va tout seul, entendez par là « chat indépendant ».

Un parfait exemple d’intégration.

Un brin de poésie, un soupçon de philosophie, de l’humour et de la fantaisie à souhait, et le plein de tendresse pour conquérir les cœurs des amis du chat.

Outil pédagogique, une œuvre qui trouve sa place dans tous les foyers et toutes les bibliothèques des jeunes de 13 à 93 ans.

 

Un livret de poèmes. En cours

40 poèmes accompagnés de merveilleuses photos